La Création des Trous Noirs

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Cet article est extrait du KF Plasma Times de Décembre 2018
© M.T. Keshe / The Keshe Foundation. Tous droits réservés - Auteur: Mehran Tavakoli Keshe
Date de la publication sur Internet: le 03 Décembre 2006 - Extrait du livre 3 : L'Origine de l'Univers - Révision de 2012


Publication de DÉCEMBRE 2018


Note

La version originale de ce document explique comment les trous noirs sont créés et laissent échapper des matières et des rayons dans l'environnement de l'univers. Ce document a été soumis à la Royal Astronomical Society of United Kingdom à Londres, en avril 2004, pour examen par les pairs et publication. Après trois mois, l'auteur a reçu le 8 juillet 2004, une lettre (Fig. 30) de la Société, datée du 7 juillet 2004, indiquant que cet article ne serait pas publié et serait conservé à la bibliothèque de la Société.
Il est intéressant de noter, que dans le même temps, le 8 juillet 2004 (voir la presse), M. Stephen Hawking, scientifique spécialiste des trous noirs et expert dans ce domaine de la science, a annoncé qu'après trente ans, il avait changé d'avis. En effet, il considérait désormais que les trous noirs émettent des rayons. Il a annoncé cela, lors d'une conférence à Dublin, plus tard ce même mois (voir la presse), si bien qu'aujourd'hui il a perdu un peu de sa crédibilité.

Nous nous sommes demandés pendant des années, à quel point ces faits pouvaient être des coïncidences, la date de la lettre de l'institut, la date de l'annonce et le changement d'avis d'un scientifique !

C'est la raison pour laquelle la Fondation Keshe ne croit pas aux scénarios et processus d'évaluation par les pairs. Elle publie ses propres articles scientifiques sur son propre site web et même ses livres. Le lecteur peut alors examiner par lui-même les nouvelles connaissances. Grâce à ce processus, les connaissances sont transmises directement au public. Et dans certains cas, elles sont transmises quelques heures après la découverte. Cela permet d’éviter une attente de plusieurs mois, voire d’années, dans l’attente d’une place disponible dans une revue, où l’article peut être publié. La Fondation Keshe est résolument convaincue que si un homme a atteint l'âge de maturité et d'intelligence pour pouvoir lire, il a capacité à faire des recherches de façon autonome. Cela lui permet de juger de l'exactitude des connaissances qu'il reçoit, le tout en fonction de son propre niveau d'intelligence, à moins d'être un innocent. Il doit alors accepter le système de contrôle renforcé, de l'examen par les pairs, lui disant comment penser.

L’examen par les pairs peut être problématique. En effet, il peut servir l'intérêt personnel du pair examinateur ou de l'organisation qui le soutient financièrement ou encore de la nation qui a promu le pair examinateur dans l’objectif de satisfaire ses propres intérêts. D’ailleurs, ces derniers temps, nous avons constaté à différentes occasions le détournement de l’examen par les pairs dans différents pays de par le monde. Une copie de la lettre de la Royal Astronomical Society est jointe à la fin de cet article pour référence (Fig. 29).

Résumé

Les Trous Noirs fonctionnent comme des agents de recyclage dans l'Univers. Les matières cosmiques, qu'ils attirent, sont finalement redistribuées à d'autres corps célestes. Ils apparaissent sombres, parce qu'ils se forment à la suite de la collision de plasmas, issus de champs magnétiques passifs (Pmfs), qui n'interagissent pas suffisamment fortement pour créer de la lumière visible. En raison de leur rotation rapide, les matières, absorbées par le Trou Noir, finissent par atteindre la force de champ de la Matière Principale et deviennent une Étoile Principale.

Avec le temps, le force gravitationnelle élevée du Trou Noir s'affaiblit. Son contenu se libère sous forme de rayons cosmiques et autres particules. Bien qu'elle puisse perdurer des milliers d'années, cette phase est essentiellement temporaire. Et les champs magnétiques initiaux se déplacent et se séparent lentement. Un processus similaire se produit à la surface des plasmas du Soleil, créant les taches sombres temporaires souvent observées, en particulier durant les phases, où la polarité du Soleil est inversée.

Hypothèse

Les trous noirs sont créés à partir d'une séquence naturelle d'événements dans l'univers. L'existence de trous noirs, dans les galaxies et dans l'univers, est un événement normal, au même titre que l'apparition des taches sombres à la surface du Soleil. Les trous noirs sont simplement une création ou le résultat de l'interaction naturelle entre deux ou plusieurs champs magnétiques (Mafs), des champs magnétiques passifs (Pmfs) et des matières en mouvement, au sein de toute entité dynamique, formée de champs magnétiques plasmatiques, dans l'univers (Fig. 27).

Discussion

Pour la première fois, ce document explique, comment un trou noir est créé physiquement, mais aussi :

  1. Les conditions dans lesquelles cet objet physique est créé naturellement dans l'univers.
  2. Comment ce bloc de masse apparaît comme une tache noire dans la galaxie.
  3. Quel est son rôle dans l'univers.
  4. Exemple similaire de l'état d'un trou noir dans notre système solaire.
  5. L'utilisation de ce phénomène pour permettre à l'homme de voyager dans l'espace.



En comprenant, dans leur totalité, les concepts de création des galaxies, des étoiles, des planètes et des plasmas, on comprend la création, ainsi que l'existence du trou noir dans l'univers, dans ses multiples dimensions, puisque la création des entités dans l'univers suit le même principe, pour chacune d'entre elles.

Fig. 27 : Interaction de deux champs d'énergie plasmatique provoquant le trou noir.

En comprenant le principe fondamental, selon lequel les galaxies, tels que les systèmes solaires et les planètes, reçoivent leur masse et leur énergie interne, au point de naissance dans l'univers, et ne peuvent donc pas créer de masses supplémentaires, ni de nouvelles sources d'énergie par elles-mêmes, on comprend que les galaxies ne peuvent recycler, que ce qui leur a été donné au début de leur vie, afin de créer en leur sein, différents nouveaux objets, telles les étoiles ou les planètes. En langage courant, elles ont une masse et une énergie finies à leur disposition et rien de plus.

Mais dans le même temps, en tant que parts d'une plus grande structure, les galaxies sont soumises aux lois universelles de la physique. Par conséquent, toutes les galaxies suivent les mêmes règles, de même que leur contenu physique, tels les systèmes solaires et les différents atomes qui les constituent.

Les trous noirs sont créés principalement et seulement à partir d'une certaine condition dans l'univers et en tant que conséquences d'autres événements dans une galaxie. Ils ne sont pas créés comme un acte délibéré et comme un plan prédéterminé, dans et par une galaxie. Mais à leur manière, ils contribuent énormément à la maîtrise des problèmes de leur environnement, pendant leur vie relativement courte. Dans le même temps, ils redistribuent de nouveaux matériaux dans toute la galaxie, durant leur cycle d'existence. En effet, cela ressemble beaucoup à des systèmes de production d'engrais naturels pour les galaxies, quand les anciennes matières donnent leur énergie de manière indirecte aux autres planètes existantes, pour les maintenir en bonne santé et leur permettre de recevoir la nourriture de leur galaxie. Les trous noirs de l'univers ne sont rien d'autre que le centre de collecte et de recyclage des débris cosmiques de toutes tailles, des météorites géants aux particules de poussière cosmique.

À mesure que le trou noir grandit et que ses forces gravitationnelles prennent le dessus, il devient un prédateur pour certaines parties de sa galaxie. Les trous noirs deviennent de gigantesques mangeurs de débris, étoiles et planètes. Et c'est exactement, ce que l'on peut attendre d'eux. À l'origine, le trou noir est totalement créé par le hasard. Il n'y a pas de modèle dans sa création. Il est simplement une création ou un résultat de l'interaction naturelle entre deux ou plusieurs champs magnétiques passifs ou matières en mouvement, dans la galaxie ou l'univers.

Création du Trou Noir

Pour expliquer le concept de création de trous noirs, des phénomènes connus et usuels sont utilisés et seront utilisés dans cet article. Puis un parallèle avec la création de phénomènes de type trou noir sera fait, selon le même processus, avec les systèmes solaires, les galaxies et l'univers.

Les trous noirs sont créés selon les règles de la physique dans les galaxies, pour collecter et ensuite réapprovisionner les galaxies, avec les matériaux recyclés. Ce recyclage est un facteur essentiel, pour préserver et faire en sorte qu'à mesure que la galaxie se déplace, de nouveaux matériaux soient à disposition, permettant de créer de nouveaux systèmes à l'intérieur de la galaxie, tout en alimentant les autres planètes de la galaxie avec de nouveaux matériaux. Par exemple, la Terre reçoit plusieurs milliers de tonnes de poussière cosmique par an du système solaire, à travers son atmosphère, selon une méthode similaire, à partir du trou noir de sa galaxie et de l'univers.

Le lien entre le trou noir et la présence de nouveaux matériaux, dans l'univers et sur Terre, peut être comparé à l'effet de la collision des plaques tectoniques sur Terre, quand deux sources de matériaux solides interagissent l'une avec l'autre. À terme, de la même manière que les étoiles et les planètes deviennent source d'approvisionnement en nouveaux matériaux dans la galaxie, les plaques tectoniques submergées de la Terre créent la lave, à l'origine de nouveaux continents ou montagnes sur Terre.

Expliquons cela de la manière suivante. Les plaques continentales et les systèmes stellaires sont toujours en mouvement, se déplaçant lentement, mais sûrement. Sur Terre, lorsque deux ou plusieurs plaques continentales se déplacent de manière aléatoire, durant des siècles et des millions d'années, à un moment donné, elles se retrouvent sur une même trajectoire, de même que pour les étoiles et leurs systèmes, tout comme le système solaire et autres dans notre galaxie.

Lorsque sur Terre, deux plaques continentales ou plus se rejoignent, plusieurs choses peuvent se produire. Cela se produit également dans les galaxies, mais sous une forme différente, où les plaques continentales sont remplacées par les champs magnétiques cosmiques des étoiles ou des systèmes, de formes sphériques ou ovoïdes et aplaties.

Les étapes suivantes du processus sont très similaires sur Terre. Au fur et à mesure que les plaques continentales se poussent les unes contre les autres, si elles sont de force équivalente, elles se dressent ensemble, pour créer les montagnes sur des millions d'années. Ces plaques continuent de pousser et de se déplacer, tout en exerçant leur force les unes sur les autres. Et de cette façon, de grandes chaînes de montagnes à la surface des planètes sont créées.

Fig. 28 : Plasma de champs magnétiques passifs se poussant les uns les autres.

D'autres phénomènes peuvent aussi se produire. Ainsi, si l'une des plaques continentales a une énergie plus faible, la plaque la plus faible glissera sous l'autre. La plaque continentale submergée devient à terme, la matière des niveaux les plus bas, à l'intérieur de la planète. Cette matière constitue ensuite la base du magma de la planète. Et après des millions d'années, cette matière apparaît à nouveau à la surface de la Terre, par le biais d'une éruption volcanique. Par la suite, ces matières deviennent également source de matériaux, pour de nouveaux continents ou îles, et ainsi de suite, au travers d'éruptions volcaniques.

La matière attirée au centre de la planète ne disparaît pas, mais elle est pour l'instant cachée à la vue. Un parallèle à ce schéma se produit dans les galaxies, lorsque deux ou plusieurs systèmes dans la galaxie se rejoignent. Une zone dans l'espace est créée, où les deux champs magnétiques passifs et/ou entités doivent interagir l'un avec l'autre. Leurs champs magnétiques passifs se repoussent alors l'un contre l'autre, de la même manière que les plaques continentales (Fig. 28).

Du fait qu'ils se trouvent sur une trajectoire de collision les uns avec les autres et que, dans le même temps, les forces du système environnant poussent vers leur position, elles ne permettent aucune autre trajectoire, que celle de la collision entre les deux systèmes en mouvement. On atteint alors un point, où les matériaux solides des deux systèmes, sont en mouvement, et n'ont d'autre choix que de se heurter et d'interagir entre eux. Dans ce processus, des morceaux de déchets interplanétaires, des parties de lunes ou de météorites et d'autres morceaux des deux systèmes, au sein de cette zone, se retrouvent également dans la même enveloppe. Et ainsi, tous sont entremêlés et s'enchevêtrent les uns avec les autres.

Dans cette zone, tandis que les matériaux physiques des deux systèmes sont poussés et jetés l'un sur l'autre, leurs mafs et champs magnétiques passifs exercent également leur pouvoir et leur influence, telles les forces cachées de la planète, poussant les plaques continentales les unes vers les autres. On atteint alors un point, où ces forces de champs magnétiques, des deux groupes d'entités, s'approchent suffisamment, pour se neutraliser mutuellement et créer une condition d'équilibre du champ magnétique, dans laquelle une force de champ ne peut pas dominer l'autre force de champ magnétique passive. Et inévitablement, une zone de force de champs magnétiques passifs, nulle ou très faible, est créée dans cette région de l'univers. Durant tout ce processus, les matériaux des deux systèmes sont encore empilés dans cette partie de l'espace, pendant que les matériaux des deux systèmes se rapprochent, grâce aux forces pures du champ magnétique passif des systèmes, et des systèmes environnants présents dans la galaxie.


Même les étoiles elles-mêmes, dans les derniers stades du développement du trou noir, peuvent devenir les victimes du trou noir, que leur propre système a partiellement créé. À ce niveau, la nouvelle masse du trou noir peut même être plus importante que tous les systèmes individuels, ayant créé le trou noir au départ.

Il ne faut pas oublier que ces masses sont toujours en mouvement et tournent à très grande vitesse.

Cette nouvelle masse, empilée au centre, crée une très grande force gravitationnelle dans la zone où elle se trouve, du fait de la masse collectée. Cette force peut devenir force d'inertie, plutôt que force gravitationnelle de la matière dans ces trous noirs.

Selon les lois de la physique, on sait que la seule raison pour laquelle les étoiles brillent ou les rayons cosmiques scintillent, réside dans le phénomène de mouvement des particules chargées, traversant un champ magnétique. Cette région, où les champs magnétiques sont très faibles, ne dispose pas de la principale composante, lui permettant de briller ou d'être lumineuse. L'absence de champ magnétique passif dans cette zone est due à l'équilibre et/ou à l'annulation des deux forces de champs magnétiques en interaction, au sein des deux systèmes.

Au cours du mouvement de ces deux champs magnétiques, de systèmes qui se croisent, il n'y a pas, ou très peu de forces de champs magnétiques disponibles, par endroits. Car même s'il y a des particules chargées dans la zone, il n'y a pas de champs magnétiques suffisamment forts, pour interagir avec elles et créer de la lumière visible. Par conséquent, dans ces régions de la galaxie, il n'y a aucune luminosité et aucun éclat.

La raison pour laquelle cela est appelé un trou noir réside dans le fait que, dans ces régions de la galaxie, où deux ou plusieurs matières, et leurs champs magnétiques se rencontrent et interagissent, et peuvent s'équilibrer, il y a très peu d'émission de lumière visible, en raison du manque d'interaction entre les particules chargées, et de l'inexistence de champs magnétiques, ou de l'existence de champs magnétiques faibles, incapables de produire une lumière suffisamment brillante, au point d'être visible depuis la Terre.

C'est la raison pour laquelle, si l'on regarde ces régions de la galaxie, elles semblent plus sombres que les régions environnantes. Car, non seulement la lumière n'est pas émise par la masse du trou noir, mais en même temps ces matières, en raison de leurs dimensions physiques et de la force de leurs champs magnétiques, ne permettent pas et bloquent les lumières, provenant d'autres sources, situées derrière elles dans la galaxie.

C'est pourquoi ces régions de l'espace semblent être noires. Mais d'un point de vue extérieur, en regardant la zone, on a l'impression que tout et tous les matériaux sont projetés dans cette zone noire d'un côté et que rien ne sort de l'autre côté. C'est pourquoi le terme de trou noir a été inventé.

Cette zone semble être une partie sombre de l'univers. Mais en réalité, certains rayons de lumière se produisent dans cette zone. Car quelques particules chargées interagissent encore avec certains Pmfs (Champs Magnétiques Passifs) de l'ensemble ou ce qu'il en reste, avant d'entrer et d'interagir. Et dans cette partie de la galaxie, il y a de la lumière visible, mais des matières disparaissent également.

Ainsi, dans cette région de la galaxie, les astronomes observent une force gravitationnelle importante, due à la grande quantité de masse, projetée dans cette zone par les deux systèmes, lorsqu'ils se croisent. Mais ils n'ont aucune explication, quant à ce qui arrive à toute cette masse. On comprend maintenant la raison de cette fausse hypothèse et ce semblant d'explication. C'est la zone, où les forces gravitationnelles sont en réalité un assemblage de la gravité et de l'inertie des deux systèmes.

Il faut se rappeler que lorsque deux systèmes ou plus se croisent, plusieurs scénarios peuvent se produire. Chacun d'eux aura et a un effet déterminant et profond dans cette région de la galaxie. Par ailleurs, ces événements peuvent générer une grande quantité de nouveaux matériaux, recyclés pour d'autres entités de la galaxie.

En même temps, il faut prendre en compte le facteur temps. Il s'agit d'une image tridimensionnelle. Dans certains cas, le trou noir existe depuis des millions d'années, les deux systèmes se croisant à faible vitesse. La vérité est que les trous noirs sont une condition provisoire, en quelque sorte, dans l'ensemble du cycle de la vie d'une galaxie. Mais ils semblent être là pour l'éternité.

Certains des résidus de ces interactions deviennent des rayons cosmiques. Ou alors, le résultat peut être la naissance d'un nouveau système, avec une nouvelle masse, résultant du mélange des masses des deux anciens systèmes, une fois que ces systèmes se sont équilibrés. Dans ce cas, les masses globales des éléments, à l'intérieur du trou noir, sont présentes, telles qu'elles l'étaient dans leurs systèmes d'origine. Mais désormais, le nouveau trou noir peut posséder une masse, légèrement inférieure à la masse combinée des deux anciens systèmes. Ceci est du à la perte d'une fraction de matière, dans le processus d'interaction des deux systèmes au sein de la galaxie.

Il ne faut pas oublier que la masse centrale du trou noir tourne encore, très probablement, dans le même sens que les systèmes qui l'ont créé. Dans le même temps, comme la masse centrale est dépourvue de champ magnétique passif (Pmf), l'interaction habituelle n'a pas lieu, entre la force magnétique passive et la force gravitationnelle. Et c'est ce qui crée généralement la première base du réchauffement et de maintien de cette chaleur, de telle sorte que le gradient de température peut s'installer. Et ce phénomène à son tour peut créer les conditions, permettant à la masse de devenir une grande étoile ou un système.

Trou Noir.png


Ainsi, la masse centrale a suffisamment de matière. Mais elle n'a pas la bonne condition, lui permettant de créer la chaleur nécessaire et devenir la source d'un nouveau système ou d'une nouvelle étoile avec des forces gravitationnelles.

C'est l'un des moyens, permettant aux trous noirs de devenir les créateurs de nouvelles étoiles et de nouveaux systèmes. La masse dépend de la chaleur, produite principalement par le frottement naturel des éléments, qui s'empilent les uns sur les autres, au centre du trou noir. Mais dans le même temps, ces espaces deviennent le centre des mafs (champs magnétiques passifs et matières en mouvement) des principales matières des entités, à l'intérieur de la zone de collision.

À ce stade, les mafs et les matières, au sein de la collision, peuvent former un trou et démarrer le processus de création de l'étoile principale, avec sa force de champ magnétique et gravitationnel. Cette condition peut amener la création d'une étoile principale, qui libère les mafs à un niveau plus élevé. Et, à travers leur ralentissement et à travers la production de mafs en transition, ces zones de l'univers peuvent à nouveau apparaître plus sombres que le reste de leur environnement immédiat, résultat de l'équilibre des mafs avec le champ de l'environnement.


Là encore, en raison du manque d'interactions, nécessaires pour créer des mafs au niveau de la lumière visible, ces zones de l'univers semblent plus sombres que les régions voisines. Comme le centre de cette zone est parsemé de la graine du principe des mafs et des matières, on observe une forte attraction des matières vers cette zone, sans toutefois être en mesure de percevoir son origine, qui est l'étoile Principale au centre de la zone sombre.

Ces interactions entre les champs magnétiques passifs se produisent régulièrement dans notre galaxie, car les systèmes sont en permanence en mouvement, dans l'espace confiné de leurs galaxies. Si l'on avait suffisamment de temps pour regarder dans l'espace, on observerait la création de ce que l'on appelle les trous noirs, de la même façon que l'on observe le passage de nuages sombres dans le ciel de la Terre, en période de tempête.

Les mouvements dans cette partie spécifique de la galaxie se poursuivent depuis des milliers d'années. Et en raison des champs magnétiques d'autres systèmes, gravitant autour du trou noir, leur influence et leur lien avec les champs magnétiques passifs de ces systèmes, font et permettent au trou noir de faire fuir les rayons cosmiques au sein de la galaxie, telle une fontaine dans son environnement.

On comprend maintenant, pourquoi le monde scientifique trouve dans l'univers des matériaux, qui n'ont pas le même âge que les composants originaux de la galaxie. Comme les supernovas, les trous noirs sont la source de nouveaux matériaux pour la galaxie, principalement par la façon dont ils sont créés et la façon dont leur cycle de vie se termine.

Le second scénario de l'interaction des deux systèmes est totalement différent avec un résultat étonnant. Cette façon d'entrer en contact entre les deux systèmes est la plus terrible qui soit. Dans ce cas, comme les deux champs magnétiques se rapprochent trop l'un de l'autre, d'autres systèmes autour d'eux poussent ces champs magnétiques passifs en même temps.

Les deux champs interagissent et la première étape de création du trou noir est atteinte très rapidement. Mais à mesure que les deux systèmes cèdent de plus en plus de leurs débris et de leurs planètes au trou noir, la masse centrale du trou noir augmente. Le trou noir, recevant ses contenus de deux systèmes différents simultanément, un point est alors atteint, où le poids et la force gravitationnelle de la nouvelle masse centrale du trou noir dépasse le poids / masse de l'un des systèmes qui l'ont créé initialement. Les systèmes, ayant déjà perdu une partie de leur masse, au début de la création du trou noir, perdent désormais le contrôle de leurs champs magnétiques.

Pour un observateur extérieur, qui observe cet événement, il semble que le trou noir consomme tout ce qui l'entoure. Ce processus peut prendre des milliers d'années, jusqu'à ce qu'un gradient de température ou une dynamique principale se mette en place au centre de la masse. Comme la masse centrale du trou noir a consommé la totalité des deux systèmes et qu'elle fonctionne dans une zone de champ magnétique nul, durant une période où son champ magnétique plasmatique dynamique interne ne peut dépasser sa limite physique (voir l'article La Création de la Matière Noire pour plus de clarté), le système continuera à absorber ou à attirer en lui d'autres masses de son environnement.

Dans ce scénario, si les mafs (Champs magnétiques) et les matériaux sont maintenus suffisamment longtemps dans la masse centrale, pour permettre la production et le maintien d'une nouvelle force de champ magnétique, à ce moment de son cycle de vie, cette masse géante du trou noir ne sera rien d'autre qu'une énorme machine génératrice de champs Magnétiques et Gravitationnels. À la fin de ce processus, un nouveau système ou plusieurs systèmes verront le jour et de nouveaux matériaux seront dispersés dans la galaxie, et ce trou noir sera un endroit sombre, mais pas nécessairement froid.

Si la masse centrale, lors de sa création, ne parvient pas à se réchauffer, alors la troisième étape du phénomène du trou noir s'installe. C'est à ce moment que la masse centrale, qui n'a jamais réussi à se réchauffer, en raison de l'absence totale ou du manque de force magnétique forte, devient extrêmement grande, avec un tout nouveau centre en rotation. Elle va recevoir une énorme force d'inertie naturelle, provenant de sa masse collective, avec peu ou pas de champ magnétique au-delà de sa limite physique pour la maintenir à distance. De ce fait, ce grand bloc massif commencera à attirer dans son piège des objets plus petits à proximité.

Le même phénomène se produit, lorsque deux galaxies viennent à se rencontrer, avec un résultat tragique pour ces galaxies, dans cette partie du cosmos. L'issue d'une telle rencontre dépasse l'imagination. Ce phénomène s'est déjà produit précédemment. Et les astronomes le prévoient pour la Voie lactée dans le futur, quand celle-ci rencontrera la galaxie la plus proche, dans les quelques milliards d'années à venir.

Les zones environnantes, proches du trou noir nouvellement créé, ne seront pas à l'abri des assauts. Cette nouvelle masse, à tout moment de son existence, a le même problème fondamental que tous les autres systèmes. Et elle essaie de se maintenir avec tous ses éléments. Dans le même temps, de même que pour les autres systèmes, les éléments les plus légers et les mafs les plus faibles de la masse se déplacent vers les couches extérieures et les limites de la masse.

À mesure que les mafs plus faibles se déplacent vers la région extérieure de la masse, les gaz et les particules, plus légers, deviennent les meilleurs postulants, pour être éloignés de la masse centrale, par toute ouverture dans les systèmes MaGravs adjacents, à proximité du trou noir. Quand la masse centrale atteint un point, où ses MaGravs, ou sa force d'inertie deviennent faibles sur ses limites, les éléments plus légers peuvent parvenir à se libérer et à échapper à son emprise dans l'espace de son environnement immédiat.

Ces éléments libérés deviendront une part de matière, qui pourra être attirée par les systèmes proches du trou noir, ou qui, en raison du mouvement rapide du trou noir, pourra être libérée sous forme de poussière cosmique dans la galaxie. Ainsi, les objets peuvent s'échapper des trous noirs et le font effectivement dans leur galaxie respective, même au cours de leur création.

Si ces éléments sont soustraits à la puissance de la masse centrale, en raison de la force ou du trou des systèmes environnants, ou de la force plus faible du trou noir, ils deviennent alors des rayons cosmiques. Car durant ce processus, la plupart des atomes sont dépouillés de leurs électrons. Certains atomes plus lourds dans ce scénario perdent leurs électrons de la même manière. Et ils réapparaissent en tant que plasma, et en tant que part de la poussière cosmique dans la galaxie. Les trous noirs sont la source de la plupart des rayons cosmiques et de la poussière dans les galaxies, en raison de ce phénomène.

Dans les galaxies, les trous noirs, durant leur création et leur existence, sont toujours entourés par d'autres systèmes et sont sous l'influence de leurs MaGravs.

Les capacités de ces trous noirs sont généralement tenues à distance par les autres systèmes environnants, en raison de leurs forces de champs magnétique et gravitationnelle plus élevées, au sein desquelles le trou noir est toujours enfermé.

Les trous noirs sont normalement observés, près du centre des galaxies et de l'univers. Comme il existe davantage de systèmes regroupés dans ces régions, cela augmente les possibilités de rencontres de différents systèmes, et par conséquent, les risques de collision entre les systèmes solaires et les galaxies dans l'univers, d'où une probabilité plus élevée de création de nombreux trous noirs.

Les mafs les plus forts, et les éléments les plus lourds de l'univers et des galaxies, sont largement concentrés au centre, et près du centre de ces entités. Ainsi, les champs magnétiques passifs, ainsi que les forces gravitationnelles des systèmes de ces régions centrales, sont beaucoup plus puissants près du centre des galaxies, que ce qui est ressenti sur les bords extérieurs de celles-ci.

Par conséquent, les forces gravitationnelles et les forces magnétiques passives, dans les régions centrales de la galaxie, permettront bientôt de contrôler la taille et la puissance de ces trous noirs géants. Ces collisions de systèmes et la création de trous noirs constituent le principe fondamental de la régénération de nouveaux systèmes, à partir des anciennes matières, tout en libérant la galaxie de l'ensemble de ses déchets. Si l'on observe une vue d'ensemble tridimensionnelle de ces zones dans l'espace, assurément en raison du mouvement des étoiles et des planètes et de l'interaction de leurs forces, il est possible de prédire où le prochain trou noir, dans cette partie de la galaxie, sera créé.

A terme, on atteindra un niveau, où les systèmes de champs magnétiques passifs de l'un des systèmes, situés immédiatement à côté du trou noir, se déplaceront. Et à ce stade, la frénésie d'alimentation du trou noir prendra fin.

Tout comme les éruptions volcaniques sur Terre, où le manteau est tellement mince que la pression de la lave peut prendre le dessus, et où elle peut se déverser, se frayant un chemin dans l'atmosphère sous forme d'éruption volcanique, c'est exactement ce qui se produit lorsqu'un des champs magnétiques passifs de cette région se déplace ou s'affaiblit.

Cela crée un vide dans les champs, contenant et contrôlant les paramètres du trou noir. Et les matériaux au centre du trou noir, préalablement poussés dans le trou noir à partir d'une certaine position, peuvent être libérés ou dispersés dans la galaxie.

Dans ce processus, une partie de ces matériaux parviendra à s'agglomérer et à générer les conditions essentielles à la création d'un ou plusieurs systèmes ou étoiles. Le reste des matériaux de la masse centrale du trou noir se transforme en poussières cosmiques. Certains deviennent des comètes, d'autres deviennent des rayons cosmiques...

Le Trou Noir.png

Ainsi, les trous noirs ne sont pas de gigantesques machines à manger, comparé à la taille de leur galaxie. En réalité, ils ne sont rien d'autre qu'un état temporaire, créé dans les galaxies, par le mouvement des systèmes de champs magnétiques plasmatiques lorsqu'ils se rencontrent. Un peu comme deux masses de nuages qui se rencontrent et entrent en collision les uns avec les autres. Cette interaction des nuages les uns avec les autres, crée des conditions anormales dans cette zone de la planète, où leur densité peut bloquer les rayons du Soleil, situés derrière eux, et où le ciel semble plus sombre. Mais en réalité, ce sont des conditions temporaires pour l'observateur de la Terre.

Contrairement à la croyance populaire, les trous noirs libèrent toujours de la matière et rejettent de nouveaux matériaux recyclés dans leur environnement. Ce ne sont pas des puits sans fond, où tout disparaît à l'intérieur. Ils sont comme un entonnoir. De sorte que si l'on regarde à une extrémité, on a l'impression qu'ils absorbent tout. Mais tout comme un entonnoir, ils ont un trou à l'autre extrémité, où ce qui entre doit ressortir. La différence est que l'extrémité de cet entonnoir est connectée à un collecteur de déchets de l'univers. À une extrémité, il broie tout et malaxe tout ce qui entre, avant de rejeter les déchets par le système d'évacuation.

Ainsi, le comportement du trou noir dépend beaucoup de la position de l'observateur. Si l'on regarde d'un côté, ce sont d'énormes machines à manger. De l'autre côté, ils sont le réservoir et le distributeur de nouvelles formes de vie dans la galaxie.

En réalité, cette zone sombre de la galaxie émet, à tout moment, des ondes électromagnétiques, de niveaux et de puissances variables, issus des activités se produisant à l'intérieur, ainsi que dans son environnement proche, et cela en raison de sa présence. Les trous noirs peuvent aisément être détectés dans leur environnement. Et leur position peut clairement être déterminée, en recourant à une méthode de détection, beaucoup plus simple que la simple supposition. Cette méthode consiste à rechercher leurs effets dans une région spécifique de l'univers.

En principe, le trou noir a tous les attributs de n'importe quel système. Mais en réalité, le champ magnétique interne, des systèmes qui l'ont créé, dans une région donnée de la galaxie, ne peut pas créer de champs magnétiques externes, capables d'interagir avec d'autres champs magnétiques, dans son environnement immédiat. Si c'était le cas, cela permettrait de créer une magnétosphère visible à la limite du trou noir et cela lui permettrait de se manifester, en tant qu'espace visible dans sa région. Mais de ce fait, en réalité, il en résulte une absence de lumière visible dans la matière des acides aminés MaGravs de l'homme.

Le phénomène du trou noir se produit de façon continue à la surface des étoiles de tout système solaire. Le principe de la création d'un trou noir se produit à petite échelle, à la surface du Soleil dans le système solaire, où il est appelé taches solaires .

C'est là où les systèmes de champs magnétiques plasmatiques dynamiques, à la surface du Soleil, passent par le même cycle d'interaction des champs entre eux, comme cela se produit pour la création d'un trou noir dans les galaxies.

Lorsque ces champs magnétiques plasmatiques se rencontrent dans l'atmosphère et à la surface du Soleil, ils doivent interagir ou se superposer. Toutefois, même si ces systèmes de champs magnétiques plasmatiques à la surface du Soleil sont extrêmement puissants, ils se rencontrent d'une manière ou d'une autre. Et, puisque leurs énergies doivent interagir, il arrive parfois que ces énergies se neutralisent et atteignent une condition d'équilibre de l'énergie magnétique.

Phénomène du Trou Noir.png

À ce stade, le même cycle de création de trou noir se répète à la surface du Soleil, à une bien plus petite échelle. En effet, il n'y a pas d'interaction entre les champs magnétiques, en raison des similarités et de la force identique des champs en interaction. Il y a très peu de frottement entre les champs, pour libérer les champs résiduels, au niveau de force des mafs (champs magnétiques passifs) des acides aminés de l'homme. Ainsi, très peu de lumière apparaît dans cette région, d'où l'apparition des points noirs à la surface du Soleil.


Parfois, le même phénomène se produit temporairement. Car, en raison des forces en équilibre, des pmfs (champs magnétiques des plasmas) des matières et des mafs (champs magnétiques), aucune interaction entre les particules chargées et les mafs à la surface n'est créée. Par conséquent, il n'y a pas ou très peu d'émission de lumière à partir de la surface du Soleil dans ces régions.

À la surface du Soleil, le scénario de contraction et d'absorption de la matière, est le même que celui observé dans le trou noir, avec une légère variante. Ici, la force des champs gravitationnels du Soleil est extrêmement puissante et les champs extrêmement rapprochés. Les forces gravitationnelles du Soleil sont (en proportion) bien plus fortes que la force gravitationnelle des particules capturées dans la région des taches noires à sa surface, après l'interaction des champs magnétiques et l'atteinte du niveau d'équilibre de leurs énergies et de leur contenu dans la zone de capture.

La masse des particules dans ces régions est parfois repoussée vers la surface du Soleil, immédiatement après l'effondrement des champs magnétiques, ayant créé ces zones de taches noires. À ce stade, la matière physique du plasma, dans cette zone de la tache noire, est tirée vers l'arrière et littéralement projetée comme un missile dans la surface liquide du Soleil, créant ainsi une dispersion supplémentaire de la matière, dans l'atmosphère du Soleil et dans le système solaire. D'où l'augmentation des éruptions solaires durant la création et en conséquence la disparition des taches sombres à la surface du Soleil.

En réalité, le plasma d'une tache sombre est créé principalement par l'interaction des champs magnétiques du Soleil. Or, ceux-ci sont créés à des niveaux très élevés de la surface du Soleil. De sorte que l'image sombre observée n'est pas en réalité située principalement à la surface, mais bien plus haut dans l'atmosphère, au-dessus de la surface solide réelle du Soleil.

Par ailleurs, lorsque les champs magnétiques plasmatiques interagissent pour créer la tache noire, la pression à la surface de la tache noire s'affaiblit sur son côté éloigné du Soleil. Et toutes sortes de matières et de mafs (champs magnétiques), couvrant tout le spectre des mafs de l'univers, sont éjectées, directement dans le système solaire, avec beaucoup plus de puissance et de matière que lors d'une diffusion normale.

Dès que la condition transitoire de tache sombre du Soleil est créée, la plupart des autres champs magnétiques plasmatiques du Soleil poussent et déplacent physiquement les champs magnétiques passifs plasmatiques (Pmfs) qui ont créé la tache sombre. Ainsi, ces forces externes dans l'environnement de la tache sombre la déplacent et modifient sa position. Suite à ce mouvement, il n'y a plus de champs magnétiques plasmatiques actifs, pour interagir les uns avec les autres dans ces régions. Par la suite, le processus normal d'interaction des particules chargées avec les champs magnétiques plasmatiques environnants reprend comme précédemment. Puis tout redevient normal. Et la lumière ou l'éclat à la surface du Soleil redevient normal.

Lorsque trop de champs magnétiques plasmatiques dynamiques commencent à s'annuler, la surface du Soleil se retrouve envahie par de nombreux champs d'énergie magnétiques plasmatiques différents. Ainsi, ces derniers obstruent la surface du Soleil, comme le font les embouteillages. Il en découle une augmentation du nombre de taches sombres.

Il est important de se rappeler que les objets (qu'ils soient solides, gazeux, plasmas, ...) possèdent leur propre champ magnétique plasmatique. Tous ces champs magnétiques plasmatiques à la surface du Soleil sont dynamiques. Ils réagissent à d'autres champs magnétiques plasmatiques dynamiques, créés en interne, dans les noyaux centraux de l'étoile. Ces champs magnétiques internes sont les créateurs du champ gravitationnel et de la totalité du champ magnétique de l'étoile elle-même.

Le champ magnétique plasmatique le plus fort (le champ gravitationnel) détermine et joue le plus souvent un rôle dans la position et le niveau de liberté du champ magnétique plasmatique le plus faible (la cible) vis-à-vis de l'autre. Ainsi, lorsque les noyaux internes des étoiles, en raison de leur structure quasi monoatomique, passent par le réalignement de leur courant interne (12, 18), ceci entraîne à nouveau un changement dans la direction du champ gravitationnel, et par conséquent de la polarité de l'étoile tout entière.

Ainsi, la rotation du champ gravitationnel créé, interagit avec les zones de champs magnétiques plasmatiques dynamiques à sa surface et dans son atmosphère. Cette interaction les fait se déplacer, suivant les mouvements internes du champ magnétique plasmatique dynamique de l'étoile. Par conséquent, la principale raison de la soudaine accélération périodique du déplacement du champ magnétique plasmatique, à la surface de l'étoile, et de la création soudaine de la tache noire dans leur environnement, peut être aisément établie, comme étant due à l'interaction du champ magnétique plasmatique dynamique, créé par les matières et les mafs à la surface, ainsi qu'à la force des champs MaGravs internes des étoiles.

Le champ magnétique plasmatique dynamique interne de l'étoile est, par ordre de grandeur, plusieurs millions de fois plus fort que le ou les ensembles de champs magnétiques plasmatiques dynamiques isolés en surface. Ainsi, la force des champs internes de l'étoile, dicte la direction de déplacement des champs plus faibles de la tache noire. C'est la raison même, pour laquelle le cycle de onze ans de changement de polarité du Soleil, entraîne une augmentation régulière du nombre de taches sombres à la surface du Soleil. Ceci est dû aux changements du champ magnétique plasmatique interne du Soleil, provoquant le changement de polarité, environ tous les onze ans. Dans ces phases, il existe, en surface et dans son atmosphère, un plus grand nombre de ces champs magnétiques plasmatiques dynamiques en mouvement et disponibles pour interagir les uns avec les autres, ainsi qu'avec les masses internes du Soleil.

En réalité, à mesure que les polarités du Soleil changent, des champs magnétiques plasmatiques plus dynamiques commencent à se déplacer d'un pôle à l'autre, pour s'adapter à l'aspect physique du changement de polarité du champ magnétique plasmatique.

Ainsi, un plus grand nombre de champs magnétiques plasmatiques dynamiques se croisent. De ce fait, il existe plus de probabilités, que deux ou plusieurs champs magnétiques plasmatiques dynamiques se rencontrent et s'équilibrent. Étant donné que dans ces régions, il n'y a pas de champs magnétiques plasmatiques, permettant à la matière chargée d'interagir, il y a inévitablement moins d'émissions de lumière, en provenance de ces régions du Soleil. Désormais, l'apparition de zones plus sombres, ou de taches sombres dans ces régions, se fait sur le même principe que pour le phénomène de création du trou noir.

L'augmentation du nombre de taches sombres de la surface du Soleil est toujours liée à la phase, où les activités des champs magnétiques plasmatiques dynamiques internes du Soleil, passent par leur repositionnement. Le nombre de ces taches sombres augmente. Et, au fur et à mesure de leur déplacement, nombre de champs magnétiques plasmatiques dynamiques s'annulent soudainement, à mesure que le changement de polarité du Soleil se complète et s'installe.

Tout le cycle de disparition du trou noir se répète. Une tache noire disparait et les nouveaux champs magnétiques plasmatiques trouvent leur total équilibre. Les matières qui étaient piégées par la gravité, sous l'influence des taches noires, qui sont principalement des plasmas, sont retenues par la force gravitationnelle de l'étoile et sont éjectées à nouveau sur la surface du Soleil, en grande quantité et en grand nombre. C'est le moment où il y a des bouleversements massifs et de fortes éruptions solaires. Celles-ci sont dispersées vers l'extérieur de la surface du Soleil. Et de grandes quantités de matières solaires sont alors projetées vers l'extérieur, dans le système solaire.

Parfois la masse des particules accumulées dans une tache sombre est renvoyée à la surface du Soleil. En raison de leur masse et de leur vitesse, ces particules se transforment en météorites, frappant la surface du Soleil. Cette action a pour résultat, que davantage de particules chargées quittent la surface du Soleil pour l'espace environnant.

L'obscurité à la surface du Soleil n'est pas, comme on le pense généralement, due à une température plus froide dans ces régions. Les taches sombres apparaissent uniquement, en raison du fait que les champs magnétiques plasmatiques dynamiques, disponibles dans ces régions, sont inexistants ou très peu nombreux, à interagir avec les particules chargées, en vue de créer la lumière. Ainsi, sous les taches sombres à la surface du Soleil, la température de la surface est toujours la même que le reste de sa surface.


Informations complémentaires

Fig. 29 : Réacteur d'essai.

L'héliosismologie est l'étude de la structure interne et de la dynamique du Soleil, grâce aux séismes. Le Soleil oscille continuellement à des degrés et dans des directions variables. Et ces oscillations sont essentiellement provoquées par une convection turbulente, juste sous la surface. Les données, issues du système solaire, sphérique et symétrique dans une même condition, montrent une étroite corrélation avec les données physiques à travers l'inversion. Ceci montre que la simulation des données est proche de la réalité physique dans le sanctuaire intérieur du Soleil.

En ce qui concerne nos essais dans les noyaux dynamiques et les données obtenues à travers eux, il est possible de confirmer, que la rotation et la turbulence, ont un effet direct sur l'échauffement de la matière, dans les confins d'un réacteur, construit sur les mêmes principes.

Dans le réacteur, et par conséquent dans la création du courant par convection, ainsi que pour la production de champs magnétiques à l'intérieur de celui-ci, la turbulence de la matière dans le cœur du réacteur crée la dynamique. Et les effets de la dynamo peuvent avoir un effet direct dans, et sur la production du champ magnétique plasmatique dynamique au sein du réacteur.

La convection turbulente et la rotation différentielle dans le Soleil sont considérées comme la cause de la création des champs magnétiques solaires, ainsi que des directions dans lesquelles ces champs magnétiques semblent se propager, en dehors de la surface du Soleil. En fonction de leur sens de rotation, leur compacité est connue sous le nom d'hélicité du champ magnétique dans la région. L'hélicité désigne simplement la plasticité de ce champ, qui s'ouvre exactement comme un cône, quand il s'éloigne du centre pour se diriger vers les régions extérieures.

L'hélicité des champs magnétiques et MaGravs, est en fait une indication de l'imbrication et de la torsion de ces champs dans une région. Elle est étroitement liée à la turbulence de l'effet dynamo. Toutes les observations faites par le passé montrent que, dans les champs magnétiques poloïdaux à grande échelle, l'hélicité a un lien direct avec un champ toroïdal puissant, conduisant à une hélicité finie.

Dans le réacteur, testé sur la même base que la turbulence des mafs de matières, les cœurs du réacteur ont des paramètres finis, et la rotation, ainsi que la turbulence sont prédéterminées. Ainsi, l'hélicité des champs magnétiques devrait être la même en différents points, tout en restant identique, quelle que soit la distance par rapport au centre.

En raison de la petite taille du cœur, on peut supposer une force ou une densité moyenne du champ magnétique. Ainsi, un point d'interaction entre deux forces magnétiques dans les noyaux, créera une condition similaire à une tache sombre sur la surface du plasma.

Si une telle manifestation parcourt le plasma vers la limite du noyau, il peut créer une brusque poussée de champs magnétiques plasmatiques dynamiques, ou modifier le mode de fonctionnement du système. La rédaction de cet article est motivée par le fait que dans le réacteur conçu, la condition de trou noir, si elle est créée, peut conduire à l'arrêt du système ou à une condition instable du fonctionnement du réacteur.

Cela s'est produit à deux reprises, lors des essais du noyau sphérique, où le second champ magnétique a été délibérément créé et positionné, pour interagir avec le champ magnétique interne créé par le noyau. Dans ces deux cas, l'ensemble du système est effectivement passé par les pôles magnétiques, en essayant de les contourner l'un l'autre.

Dans le second test, en essayant de prouver le principe de l'interaction de deux champs magnétiques et la création d'un trou noir, l'ensemble du système a été torsadé et les axes du noyau ont été décentrés. Les axes du noyau ont été réalignés. Mais les dommages causés, au niveau de la jonction entre le noyau et l'axe se sont avérés trop importants pour être réparés. Et ce test de création de trous noirs a plus ou moins causé la perte du premier réacteur, prototype en acier (Fig. 29).

Dans le même temps, dans le même réacteur, des taches sombres, dues à l'interaction des matières, ont été délibérément créées, pour une utilisation spécifique du système. Une étude sur la création des taches noires, ainsi que le recours à une condition de matière de transition, pour créer la matière noire, utilisée comme carburant pour les voyages dans l'espace profond, a été testée et confirmée.

C'est ainsi que ces phénomènes peuvent être expliqués clairement. Le principe de la création d'un trou noir peut facilement être démontré. Dans de prochains articles, l'auteur expliquera, en quoi les effets du trou noir peuvent être utiles, pour faciliter le voyage à travers les galaxies et l'univers. Ces phénomènes sont actuellement méconnus, au niveau des avancées scientifiques actuelles.


Conclusion

Fig 30 : Lettre de la Royal Astronomical Society

Les trous noirs sont des effets physiques naturels, issus du mouvement des forces et des matières, comme tout autre objet de l'univers. La seule particularité, permettant à cet espace d'apparaitre, est l'insuffisance ou l'absence totale de l'un des trois principaux constituants de la création. À savoir l'absence des forces de champs magnétiques passifs (Pmfs), dans la région où ces trous noirs sont produits.

Les trous noirs sont également une création de l'univers, tout comme l'unicité de la planète bleue. Dès lors que l'on a compris les processus de création de l'univers, dans tous ses paramètres physiques, chacun des aspects de la formation des différents objets et des champs, ne peut être expliqué, qu'au travers de la compréhension des interactions entre eux.

La plus belle étape de ce scénario sera désormais de savoir, comment l'homme va utiliser cette connaissance, pour le perfectionnement de sa nation. La compréhension du processus de création, de l'existence et du comportement du trou noir dans l'espace ouvre de nouvelles perspectives à l'homme, pour planifier ses futures excursions dans l'espace.

Le nom approprié pour cet espace ne devrait pas être un trou noir. Ces zones de trou noir dans les galaxies couvrent des zones, aussi grandes que plusieurs systèmes solaires. Elles présentent toutes les caractéristiques physiques d'un système solaire. La seule différence est qu'elles ne brillent pas, en raison de l'absence de champs magnétiques plasmatiques dynamiques suffisants, dans leur structure, ou durant leur existence, au sein de l'environnement où elles évoluent.

Cet objet a un seul corps et deux spécificités : son comportement et son aspect. La première est celle d'une gigantesque machine à manger. Et la seconde est celle de permettre à de nouveaux systèmes de se développer, à partir de ce qu'il a absorbé. Il existe un nom dans l'arabe ancien, pour désigner une flèche à deux pointes. Tout comme le trou noir, qui a deux caractéristiques, ce nom est Zhubeen. C'est ainsi que je désigne cet objet imprévisible dans la galaxie. Désormais, c'est un objet connu et non plus un phénomène scientifique mystérieux.